Le magazine Contact

La zone d'échanges entre l'Université Laval,
ses diplômés, ses donateurs et vous

Le magazine Contact

Printemps 2011

Ce que vous en pensez

Ce Contact sans papier suscite des réactions diverses...

 FAVORABLES 

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Très apprécié. Il est plus facile d’en partager l’information. Bravo!
Marie-France Gagnon (Sciences infirmières 1992) 

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Excellent projet autant dans la formule de présentation que dans le fond qui résume bien la quintessence des sujets assez variés et surtout très intéressants. Continuez dans la même veine car vous avez une formule gagnante. Bravo!
Denis Gauthier (Administration 1971
), ancien éditeur du Journal de Québec et du Journal de Montréal 

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Contenu très intéressant, comme à l’habitude;  mais dans cette version électronique, j’ai particulièrement apprécié les extraits sonores.
Denise Montpas (Journalisme et information 1976) 

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Très convivial comme mode de transmission, écolo surtout. Cela encombre moins la boîte aux lettres, surtout si on s’absente quelques jours. Sur le fond, j’aime la variété que Contact présente: cela permet de savoir ce qui se passe dans les autres professions et corps de métier. Bref, je l’aime bien et compte le lire sur Internet avec plaisir et fidélité.
Isabelle Morency (Médecine 1975) 

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Merci de publier sur le Web. Une façon moderne de permettre la divulgation de l’information. Plus pratique et plus agréable, car plus accessible pour l’usager.
Gervais Savard, employé à l’UL depuis 2004 

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Excellent! Je lis la version électronique alors que j’oubliais de lire la version papier…
Lucie Fillion (Nutrition 1990) 

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J’ai été agréablement surprise de recevoir ce numéro que j’ai beaucoup apprécié… Je consulterai régulièrement… Merci!
Nicole Talbot St-Pierre (Technologie médicale 1961) 

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J’ai beaucoup aimé ce numéro de la revue Contact. La lecture est aisée, le visuel agréable (bravo à l’équipe d’infographistes!) et le contenu passionnant. Ce numéro électronique procure aussi un bon aperçu de la richesse des activités qui se déroulent sur le campus de l’Université Laval et même en dehors. Enfin, la version électronique, en plus de constituer une plateforme idéale pour l’information multimédia (vidéo, possibilité d’interaction avec les lectrices et lecteurs, disponibilité en ligne de numéros antérieurs), revêt un caractère écologique indéniable, ne serait-ce que par l’économie de papier qu’elle permet.
Pierre Mercier (Français 1987 et 1992)

 

DÉFAVORABLES, BÉMOLS ET SUGGESTIONS 

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Si je comprends bien, il faut dire adieu à la copie papier. Il est donc certain que le magazine ne traînera pas sur une table de chevet ou ailleurs dans la maison et il est aussi certain que je ne lirai que ce qui pourra m’intéresser au moment de la réception, si j’ai le temps. Et je déteste lire de longs textes à l’écran. J’espère vivement le retour de la copie papier.
Lucie Bouffard (Lettres 1973 et Sciences de l’administration 1993)

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Je veux simplement vous dire que, sans copie papier, je vais cesser de lire Contact. Je me refuse à l’imprimer ou à le lire sur mon petit écran, car ça me tanne (et me fatigue aussi)… Dommage, car je trouvais toujours un ou deux articles intéressants, plus les nouvelles brèves sur les recherches, les parutions, etc.
Richard Bourret (Philosophie 1968 et 1970)

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Comme à l’habitude, le magazine est très intéressant par sa facture et son contenu. Toutefois, comme je n’ai pas le temps de lire à l’ordinateur, il me restera une solution possible: tenter de transférer le contenu sur mon lecteur Kobo. Adieu donc la mise en page attrayante et colorée. Heureusement que le contenu en vaut la peine. Et dommage pour mes voisins de métro, qui n’auront plus la chance de lire mon magazine (ce n’est pas poli mais ils le font tous) et ainsi d’entendre parler de l’Université Laval.
Marie-Claude Giguère (Communication 1986)

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Il s’agit d’une très belle réalisation. La navigation sur un ordinateur est agréable. Cependant, bien que je lise beaucoup de documents à l’écran, je me refuse à lire ce genre de revue assis devant mon ordinateur. J’aime bien être assis confortablement dans mon fauteuil, tout en écoutant de la musique. J’ai essayé de le lire sur mon iPad, mais la navigation et la lecture sur cet appareil sont plutôt désagréables. La prochaine étape est donc la conception d’une application pour le iPad. Vous n’en êtes pas loin.
Michel Truchon, professeur retraité du Département d’économique

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Je suis d’accord avec le principe de ne plus transmettre de copie papier sauf que, compte tenu que je passe mes journées au travail devant l’écran, je n’aurai pas de plaisir à lire la revue Contact à l’écran à moins que ce soit très très facile et d’une bonne grosseur. Donc, deux pages sur l’écran ça ne me convient pas…
Marie-Claire Martineau (Relations industrielles 1985)

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Un magazine (format PDF) téléchargeable est vraiment la solution. Nous pouvons ranger le magazine dans notre bibliothèque électronique : cela assure pérennité, indépendance d’Internet et grande économie de papier (et forêt). Visualiser sur Internet nous laisse trop sur notre appétit et devient vite lassant.
Réjean Boyer (Génie électrique 1977)

  

AU MENU DE LA MÉNOPAUSE

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Bravo! Article fort intéressant qui met en évidence que la chercheure Sylvie Dodin se soucie de réaliser des études crédibles, sur des préoccupations réelles des femmes, en acceptant d’explorer des domaines méconnus, voire sous-estimés: les pratiques alternatives. Merci!
Jocelyne Gagné (Communication publique 1991)

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Bravo pour cet article qui rejoint tellement mes valeurs et mon point de vue. On ne nous bourre pas de pilule, mais de gros bon sens. Vivre et manger sainement pour profiter pleinement de la vie, et ce, à tout âge!
Carolyn Wayland (Consommation 1989; Gérontologie 2004)


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Merci docteure Dodin pour toute cette énergie consacrée, pendant toutes ces années, à notre mieux-être! Ce texte était fort intéressant.
Nicole Laroche (Sc. infirmières 1965; Andragogie 1987; Bac général 1992)

 

SOUFFRONS-NOUS DE CYBERANXIÉTÉ?

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Excellent texte de Gilles Drouin sur la cybercriminalité. Il démystifie le phénomène avec justesse et logique, en termes simples. Parmi les causes de la cyberanxiété entourant la criminalité sur Internet, je m’étonne cependant qu’il ne mentionne pas la «psycho pop» comme source évidente d’amplification du mythe. Avec ses concepts de cyberdépendance, de cyberharcèlement, etc., cette pseudo-science invente des phénomènes de société propres à justifier son utilité…
Éric Coulombe (Biochimie 1995; Médecine expérimentale 1996)

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